Opprobre et prépa
Par Nucleos le vendredi 29 décembre 2006, 18h - Réflexions - Lien permanent
J’avoue ne m’être jamais dédié totalement à mes cours de math sup et spé. Et tant pis pour l’opprobre.
J’avoue ne pas vouloir travailler comme un forcené pour répondre aux attentes de mes professeurs. Et tant pis pour l’opprobre.
J’avoue ne pas m’en préoccuper au-delà d’un certaine limite, à savoir : ne plus avoir le temps de l’outre-école. Et tant pis pour l’opprobre.
Ne stressez pas pour ne pas savoir résoudre la question 2B de vos devoirs à la maison ! Sortez des cours qui matraque les sensations comme TF1 la conscience politique ! Mon décalage, c’est celui qui ne suit pas l’enseignement des classes préparatoires, enchaînées à des connaissances d’un système qui favorise l’élite — c’est-à-dire une frange de la population réduite qui parvient à adopter une vie monophasée avec le rythme prépa, et il y en a une autre, celle qui de père en fils se passent Polytechnique et l’ÉNA.
Oui, je suis au milieu des exemples à suivre et des bonnes conduites à adopter, et je suis malgré tout encore le seul à pouvoir décider qui être, quelle sera ma bonne conduite. Et peu importe l’opprobre, elle doit être défigurée. Stay tuned…
EDIT (11 juin 2010) : voir ce billet
Commentaires
2e semaine de sup, et je pense déjà pareil '-.-
[Sympa le choix maintenant : se dévouer au Cours ou être à la ramasse pendant 1 an...]